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La Porte du Jerzual
Jusqu’au XVIIIe siècle, cette porte était l’unique
entrée de la ville en venant du port.
Cette tour-porte remonte au début du
XIVe siècle. Les deux rainures verticales à
l’extérieur, ultérieures à la construction,
prouvent qu’elle possédait un pont-levis
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Montée vers le Jerzual
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Bénitier porté par le Démon
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L’église Saint-Malo : construction échelonnée entre la fin du XVe siècle et la fin du XIXe siècle. De style gothique et Renaissance, elle est surtout réputée pour ses vitraux du début XXe siècle et son orgue anglais aux tuyaux polychromes, fabriqué par Oldknow en 1889. Elle a été classée par arrêté du 1er août 1907. La Révolution, en dépit de la réprobation des Dinannais, dévasta l'église, qui ne fut rendue au culte qu'en 1803.
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Le duc de Bretagne François II autorise en 1470 la construction d'une tour communale qui sert d'hôtel de ville. Jusqu'à la Révolution, les réunions ont lieu dans la salle du deuxième étage, où sont conservées les archives. En 1507, Anne de Bretagne, reine de France, donne son nom à une cloche, qui est installée sur la tour en même temps qu'une horloge. Trois autres cloches garnissent la tour, qui devient la tour de l'Horloge. La plus petite, Noguette, sonne pour annoncer les réunions du conseil municipal
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La dénomination du pont se justifie par sa fondation antérieure à celle du prieuré du Pont ou de la Madeleine, daté de 1070. Remplaçant un gué, ce pont supporte tout le trafic jusqu'à
l'inauguration du viaduc et pendant les périodes de réparation de ce dernier. Cependant, les canons envoyés pour combattre les Anglais en 1758 ayant subi des dommages et des retards importants
dans la montée du Jerzual, les voies d'accès primitives sont remplacées, à la fin du XVIIIe siècle, par des routes plus longues et moins inclinées. En août 1944, le pont, lieu stratégique, est
dynamité par les Allemands. Il est reconstruit par la suite.
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